• Janvier

    Récapitulatif Janvier

    Textes finis:

    Mon amour démoniaque 

    Mon amour démoniaque, toi  le prince d'obsidienne, j'aurais voulu t'aimer. Tu étais si beau mais si dangereux.... Le soleil sur ton passage se faisait nébuleux. Ses rayons se perdaient dans ta chevelure faisant éclore à chacun de tes pas des centaines d'héllebore aussi sombres que toi. Tu faisais naître des lunes rouges du bout de tes doigts. Le ciel nocturne semblant être un champ de bataille après un combat entre anges et démons. C'était comme si les suppots de Lucifer avaient éventré les corps célestes. Mais j'aurais pu t'aimer. Il suffisait que tu tendes la main pour cueillir mon coeur. Je te l'aurais offert si tu avais voulu, j'aurais embrasser tes lèvres accéres sans jamais te refuser un baiser. J'aurais souffert que tu meurtrisses mon corps. Mais tu as préféré arracher cruellement mon coeur. Tu as préféré me salir  Tu m'as violée alors que je pouvais t'aimer. Tu as usé de ta force alors que tes charmes me faisaient succomber.... J'aurais pu t'aimer mais tu m'as violée.

    Textes en cours:

    J'ai tracé sur le papier blanc du sang. Ou plutôt j'ai écris du sang. Mais il ne s'est pas répendu. J'ai percé mon âme pour que le papier saigne mais le papier est resté là, pâle, strié de bleu... Comme autant de veines qui ne voulaient pas s'ouvrir. Je me suis épenchée pendant des heures et des heures mais jamais je ne suis arrivée à transmettre totalement ce que je ressentais.                                    Je suis une imposture... Incapable de construire un pont entre les sentiments et vous. Ou plutôt mon pont ressemble a un arc en ciel, une illusion colorée rien de plus....

      "Danse". Il avait di ça gravement, d'une voix qui était plus qu'un ordre, d'une voix qui était aussi pressante que le pistolet pointait vers elle. Elle le regarda de ses yeux impérieux d'étoile et chaussant d'une main experte ses pointes elle entama une danse. Elle savait. Elle savait que ce serait la dernière fois, qua quand elle s'arrêterai dans un mouvement gracieux mais fini il la tuerai. Alors, elle enchaîna les pas comme une ballerine folle. Se laissant posséder par la musique de la pluie materlant les vitres. Se laissant posséder par le chant de la nature, de la vie... Elle lui offrait une ultime danse, une danse qui appellait la mort. Elle allait mourir en vibrant jusqu'au bout des doigts, totalement habitée par la musique. Elle, l'esprit malin qui enpoigne cruellement mais doucement le corps des danseurs pour en faire ses marionnettes.

     "Danse, danse encore, danse à jamais mon étoile. Ma belle étoile. "

     

    Il sortait des ombres, il était vaporeux, comme un songe. Une étrange fumée à forme humaine qui tanguait sur un fil trop accéré. Funambule. Je regardais mon homme lunaire perché en équilibre sur la corde des étoiles.Semblant si étranger aux fourmis qui l'observer. Mais un seul faux pas et la terre reprendait brutallement ses droits sur cet oiseau qui n'aurait jamais du atteindre le ciel. Funambule. Léger comme une plume sur son fil tiré entre deux astres. Magicien équilibriste à la beauté trop flou. Si il tombe je tombe avec lui, moi sa jolie marionnette, sa poupée de chiffon serrée tout contre son coeur... Mon amour si tu tombes je tombe.

    Poèmes en cours


    Entendez vous les cris
     Des suppots de Satan?
     Telle une horde d'esprit
     Ils hurlent en riant 

    Les arbres squelettiques
     Jouent une obscure musique
     Tranchante mélodie
     Do, sang, ré, lame si
      
      Moi, je suis ce songe
      Mort
     Ce vide inommable qui,
     Non contente de vous ronger,
     Vous brûle, vous lacère, vous envahie comme un lent poison.

    Reflexions:

    J'ai signé. J'ai saigné. J'ai aimé. J'ai érré. J'ai hiérarchisé. J'ai arnaché....

     "Moi l'effrayé, l'ignorant, vivant à peine
    Me couvrant d'images les yeux,
    J'ai prétendu guider mourants et morts" (Jaccottet, Leçons)

     

    Suis je aussi ignorante et inexpérimentée? Jaccottet pose-t-il ici un problème auquel moi-même je dois répondre? Mon écriture parle-t-elle de ce que je ne connais pas? Sais je ce qu'est la mort? Sais je vraiment ce qu'est la scarification? Suis je prétencieuse au point de penser pouvoir transmettre des sentiments que je ne peux expliquer en tant normal. Ai je vraiment frôler la mort? Me suis je fais une illusion? Est-ce que je souffre? Est-ce que je transmet cette souffrance? Que dois-je chercher dans mon écriture? Les sentiments? La forme poétique? Les belles images?

    Débuts (qui ne seront pas forcément repris.....)

     

    Les astres tanguaient pour mieux t'observer mon amour. Les spectres faisaient bouger les vieilles branches des arbres malades. Pour toi, cette obscure mélodie, provenant du tréfond des enfers, résonnait dans la forêt.

    Ma vie est un soupire. Un long soupire d'agonie.... Chaque pas que je fais me précipite vers la mort, chaque pas diffuse un peu plus le poison en moi.

     

    Il y avait des étoiles s'éparpillant dans tes cheveux comme si tu t'étais voilée avec la voûte céleste. Tu étais si belle que mon coeur s'emballa: ma reine de la nuit, tu semblait plus lumineuse qu'un soleil mais ton sourire avait quelque chose de lunaire.

    Musique

    Une musique qui m'inspire:

    http://www.youtube.com/watch?v=0cnQw9k1_HE 

  • J'ai vu le soleil nébuleux couvrir tes cheveux d'ébène. Mon prince tu étais si beau. Si beau mais si dangereux. J'aurais pourtant goûté à tes lèvres acérées si tu avais su voler mon coeur.... Tu n'as fait que le violer mon tendre démon... Tu n'as fait que me violer.... Tu as volé mon corps mais mon coeur ne t'appartiedras jamais.



    Elle enchaînait les pas comme une ballerine folle. Elle savait que cette danse serait l'ultime, la danse de la mort mais elle ne s'arrêta pas. Mourir en vibrant jusqu'au bout des doigts, en sentant la musique résonnait, la posséder... Parce que la musique est un esprit malin qui empoigne le corps des danseurs....


    Je pourrais écrire des heures et des heures sans réussir à exprimer totalement ce que je ressens. Sans réussir à vous le transmettre....


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  • Mon amour démoniaque, toi  le prince d'obsidienne, j'aurais voulu t'aimer. Tu étais si beau mais si dangereux.... Le soleil sur ton passage se faisait nébuleux. Ses rayons se perdaient dans ta chevelure faisant éclore à chacun de tes pas des centaines d'héllebore aussi sombres que toi. Mais j'aurais pu t'aimer. Il suffisait que tu tendes la main pour cueillir mon coeur. Je te l'aurais offert si tu avais voulu, j'aurais embrasser tes lèvres accéres sans jamais te refuser un baiser. Mais tu as préféré arracher cruellement mon coeur. Tu as préféré salir mon corps. Tu m'as violée alors que je pouvais t'aimer. Tu as usé de ta force alors que tes charmes me faisaient succomber....


    J'ai signé. J'ai saigné. J'ai aimé. J'ai érré. J'ai hiérarchisé. J'ai arnaché....


    J'ai tracé sur le papier blanc du sang. Ou plutôt j'ai écris du sang. Mais il ne s'est pas répendu. J'ai percé mon âme pour que le papier saigne mais le papier est resté là, pâle, strié de bleu... Comme autant de veines qui ne voulaient pas s'ouvrir. Je me suis épenchée pendant des heures et des heures mais jamais je ne suis arrivée à transmettre totalement ce que je ressentais.

     


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    Mon amour démoniaque, toi  le prince d'obsidienne, j'aurais voulu t'aimer. Tu étais si beau mais si dangereux.... Le soleil sur ton passage se faisait nébuleux. Ses rayons se perdaient dans ta chevelure faisant éclore à chacun de tes pas des centaines d'héllebore aussi sombres que toi. Tu faisais naître des lunes rouges du bout de tes doigts. Le ciel nocturne semblant être un champ de bataille après un combat entre anges et démons. Comme si les suppots de Lucifer avaient éventré les corps célestes. Mais j'aurais pu t'aimer. Il suffisait que tu tendes la main pour cueillir mon coeur. Je te l'aurais offert si tu avais voulu, j'aurais embrasser tes lèvres accéres sans jamais te refuser un baiser. Mais tu as préféré arracher cruellement mon coeur. Tu as préféré salir mon corps. Tu m'as violée alors que je pouvais t'aimer. Tu as usé de ta force alors que tes charmes me faisaient succomber....

     

    "Moi l'effrayé, l'ignorant, vivant à peine
    Me couvrant d'images les yeux,
    J'ai prétendu guider mourants et morts" (Jaccottet, Leçons)

    Suis je aussi ignorante et inexpérimentée? Jaccottet pose-t-il ici un problème auquel moi-même je dois répondre? Mon écriture parle-t-elle de ce que je ne connais pas? Sais je ce qu'est la mort? Sais je vraiment ce qu'est la scarification? Suis je prétencieuse au point de penser pouvoir transmettre des sentiments que je ne peux expliquer en tant normal. Ai je vraiment frôler la mort? Me suis je fais une illusion? Est-ce que je souffre? Est-ce que je transmet cette souffrance? Que dois-je chercher dans mon écriture? Les sentiments? La forme poétique? Les belles images?

      

    J'ai tracé sur le papier blanc du sang. Ou plutôt j'ai écris du sang. Mais il ne s'est pas répendu. J'ai percé mon âme pour que le papier saigne mais le papier est resté là, pâle, strié de bleu... Comme autant de veines qui ne voulaient pas s'ouvrir. Je me suis épenchée pendant des heures et des heures mais jamais je ne suis arrivée à transmettre totalement ce que je ressentais.                                    Je suis une imposture... Incapable de construire un pont entre les sentiments et vous. Ou plutôt mon pont ressemble a un arc en ciel, une illusion colorée rien de plus....


    Ma vie est un soupire. Un long soupire d'agonie.... Chaque pas que je fais me précipite vers la mort, chaque pas diffuse un peu plus le poison en moi.


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  • Moi, je suis ce songe
    Mort
    Ce vide inommable qui,
    Non contente de vous ronger,
    Vous brûle, vous lacère, vous envahie comme un lent poison.
     
    (bon ok j'imite Jaccottet là.... Même si on perçois mon style va falloir que je me détache de lui. MDR)
      

    Il y avait des étoiles s'éparpillant dans tes cheveux comme si tu t'étais voilée avec la voûte céleste. Tu étais si belle que mon coeur s'emballa: ma reine de la nuit, tu semblait plus lumineuse qu'un soleil mais ton sourire avait quelque chose de lunaire.

    "Danse". Il avait di ça gravement, d'une voix qui était plus qu'un ordre, d'une voix qui était aussi pressante que le pistolet pointait vers elle. Elle le regarda de ses yeux impérieux d'étoile et chaussant d'une main experte ses pointes elle entama une danse. Elle savait. Elle savait que ce serait la dernière fois, qua quand elle s'arrêterai dans un mouvement gracieux mais fini il la tuerai. Alors, elle enchaîna les pas comme une ballerine folle. Se laissant posséder par la musique de la pluie materlant les vitres. Se laissant posséder par le chant de la nature, de la vie... Elle lui offrait une ultime danse, une danse qui appellait la mort. Elle allait mourir en vibrant jusqu'au bout des doigts, totalement habitée par la musique. Elle, l'esprit malin qui enpoigne cruellement mais doucement le corps des danseurs pour en faire ses marionnettes.

    "Danse, danse encore, danse à jamais mon étoile. Ma belle étoile. "


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  • Il sortait des ombres, il était vaporeux, comme un songe. Une étrange fumée à forme humaine qui tanguait sur un fil trop accéré. Funambule. Je regardais mon homme lunaire perché en équilibre sur la corde des étoiles. Un faux pas et la terre reprendait brutallement ses droits sur cet oiseau qui n'aurait jamais du atteindre le ciel. Funambule. Léger comme une plume sur son fil tiré entre deux astres. Si il tombe je tombe avec lui, moi sa jolie marionnette, sa poupée de chiffon serrée tout contre son coeur... Mon amour si tu tombes je tombe.

      

    Une musique qui m'inspire:

    http://www.youtube.com/watch?v=0cnQw9k1_HE


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